interview a l'est replublicain
-
- Modérateur||Modératrice
- Messages : 6932
- Inscription : dim. 28 déc. 2003, 3:44
- Localisation : Paris 12e
Re: interview a l'est replublicain
un scan ! un scan !
(clameur montant de la foule de FD)
(clameur montant de la foule de FD)
Re: interview a l'est replublicain
on a fait sensation au pres de qui ? si c'est des mecs c'est pas la peinecabfamilia a écrit : , ça a fait sensation au boulot, Cyril on est beau comme des dieux Grecques ... ! Attention à la célibrité


bon c'est juste pour la photo on peut pas lire l'article!!!! Cab ou Babu si vous avez un scan!!
djutdjut
- freestylers2000
- Le tchatcheur fou||La tchatcheuse folle
- Messages : 817
- Inscription : sam. 05 avr. 2003, 11:38
- Localisation : TOULOUSE (Montaigut sur save)
- Contact :
Re: interview a l'est replublicain
Merci internet !!!
Article paru dans l'Est Républicain en page Besançon
Joueurs de didgeridoo
Il jouent du plus vieil instrument du monde. Et son passionnés par la culture aborigène. Les amateurs de didgeridoo se regroupent en association.
L'association est nouvelle et s'appelle Franche-Comté Didgeridoo. Didgeridoo ? Kesako ? Il s'agit en fait du plus vieil instrument de musique au monde, un tronc d'arbre d'eucalyptus qu'utilisent encore les aborigènes d'Australie.
Depuis une quinzaine d'années déjà, un peu partout dans le monde, des musiciens se mettent à la pratique du didgeridoo. De façon traditionnelle mais aussi en y adaptant un répertoire plus contemporain.
En France, les joueurs de didgeridoo se fédèrent autour d'internet. FC Didgeridoo se joint à la joyeuse bande. « Nous étions partis du constat que les pratiquants sont souvent isolés », explique Cyril Faivre, le président de la nouvelle association. « Par exemple, il n'y a pas de lieux où apprendre à Besançon. Nous avons donc décidé de nous regrouper. » Au programme, le partage de la passion, des cours d'initiation. « Attention, c'est un instrument vibratoire », reprend Cyril Faivre. « Ce n'est pas comme une trompette, il ne faut pas souffler dedans. » Pour caricaturer, il faut emboucher l'instrument, émettre un soufflement de cheval. Cela permettra au didgeridoo d'entrer en vibration. Et de donner ce son si caractéristique, venu des entrailles de la terre.
La nouvelle association franc-comtoise veut également proposer des initiations à la fabrication. A savoir qu'un véritable instrument aborigène venu d'Australie coûte cher.
Fabriquer son instrument
Son acquisition, s'il elle n'est pas faite par le biais du commerce équitable, peut mettre en danger l'économie et le patrimoine d'un peuple qui a déjà beaucoup souffert. « Fort heureusement, l'instrument peut se fabriquer. On peut même faire des didgeridoos sandwiches. Il suffit de prendre un tronc, de la scier dans le sens de sa longueur, de creuser puis de recoller. » Parole de Cyril Faivre, le son d'un sandwich peut être aussi bon que celui des authentiques.
Autre objectif de l'association, aller à la rencontre des autres musiciens. Il y a le festival d'Airvault (79). « Et comme c'est une discipline musicale peu pratiquée, il est possible de rencontrer les plus grandes pointures mondiales. » parmi eux, bien sûr, des aborigènes.
Car, comme tout pratiquant de didgeridoo, Cyril Faivre est passionné par cette culture qui a su conserver ses traditions au fil des siècles. « Une culture basée sur l'échange avec la terre. »
Alors, bien sûr, le peuple aborigène est mis en danger, dans un destin qui le cantonne maintenant dans des réserves. « A long terme, nous espérons mettre en place un partenariat avec une école aborigène pour des échanges culturels. » Déjà une autre histoire. Cyril Faivre et les siens se donnent trois ans pour la construire.
Eric DAVIATTE
Les rêves de Delphine Martin
Delphine Martin, la compagne de Cyril Faivre, compte elle aussi s'investir au sein de l'association. « A plus long terme, nous espérons développer des échanges entre la Franche-Comté et l'Australie autour du didgeridoo. Mais cela pourrait concerner d'autres disciplines comme le dessin et ses techniques peinture. »
Il faut dire que Delphine Martin est peintre. Cela fait d'ailleurs une année qu'elle ne fait plus que cela. Créant des toiles influencées par le monde imaginaire enfantin. Fées, elfes et animaux sur les toiles.
Les peintures de Delphine Martin, exposées et commercialisées chez Cart, décorent à merveille les chambres d'enfants. Mais nombreux sont les adultes à ne pas hésiter à faire l'acquisition d'une oeuvre pour eux-mêmes. Un retour dans les saveurs de l'enfance. « Mes toiles sont en fait le début d'une histoire. Et chacun peut s'inventer la suite. » Une poule sur des échasses devant des moutons interloqués... On dirait en effet le début d'une bande dessinée.
Delphine Martin est peintre. Mais elle n'a pas une vision d'art restrictive. La demoiselle l'avoue sans détour. Elle voudrait s'investir dans d'autres domaines. « J'aimerais bien travailler dans le textile pour enfants, dans les papiers peints ou les frises... Moi, je travaille dans l'image. Le but est de la diffuser pour que les gens puisse en profiter alors cela ne me gênerait pas que mes dessins se retrouvent sur des housses de couettes. »
Delphine Martin est comme cela. Elle veut partager ses rêves avec tout le monde. C'est pour cela qu'elle voudrait essayer tous les chemins. Mais pour l'édition, elle avoue qu'elle attendra avant de se lancer dans une carrière d'illustratrice. Son regard enfantin pour le moment ne veut pas investir un monde de requins.
E. D.
Article paru dans l'Est Républicain en page Besançon
Joueurs de didgeridoo
Il jouent du plus vieil instrument du monde. Et son passionnés par la culture aborigène. Les amateurs de didgeridoo se regroupent en association.
L'association est nouvelle et s'appelle Franche-Comté Didgeridoo. Didgeridoo ? Kesako ? Il s'agit en fait du plus vieil instrument de musique au monde, un tronc d'arbre d'eucalyptus qu'utilisent encore les aborigènes d'Australie.
Depuis une quinzaine d'années déjà, un peu partout dans le monde, des musiciens se mettent à la pratique du didgeridoo. De façon traditionnelle mais aussi en y adaptant un répertoire plus contemporain.
En France, les joueurs de didgeridoo se fédèrent autour d'internet. FC Didgeridoo se joint à la joyeuse bande. « Nous étions partis du constat que les pratiquants sont souvent isolés », explique Cyril Faivre, le président de la nouvelle association. « Par exemple, il n'y a pas de lieux où apprendre à Besançon. Nous avons donc décidé de nous regrouper. » Au programme, le partage de la passion, des cours d'initiation. « Attention, c'est un instrument vibratoire », reprend Cyril Faivre. « Ce n'est pas comme une trompette, il ne faut pas souffler dedans. » Pour caricaturer, il faut emboucher l'instrument, émettre un soufflement de cheval. Cela permettra au didgeridoo d'entrer en vibration. Et de donner ce son si caractéristique, venu des entrailles de la terre.
La nouvelle association franc-comtoise veut également proposer des initiations à la fabrication. A savoir qu'un véritable instrument aborigène venu d'Australie coûte cher.
Fabriquer son instrument
Son acquisition, s'il elle n'est pas faite par le biais du commerce équitable, peut mettre en danger l'économie et le patrimoine d'un peuple qui a déjà beaucoup souffert. « Fort heureusement, l'instrument peut se fabriquer. On peut même faire des didgeridoos sandwiches. Il suffit de prendre un tronc, de la scier dans le sens de sa longueur, de creuser puis de recoller. » Parole de Cyril Faivre, le son d'un sandwich peut être aussi bon que celui des authentiques.
Autre objectif de l'association, aller à la rencontre des autres musiciens. Il y a le festival d'Airvault (79). « Et comme c'est une discipline musicale peu pratiquée, il est possible de rencontrer les plus grandes pointures mondiales. » parmi eux, bien sûr, des aborigènes.
Car, comme tout pratiquant de didgeridoo, Cyril Faivre est passionné par cette culture qui a su conserver ses traditions au fil des siècles. « Une culture basée sur l'échange avec la terre. »
Alors, bien sûr, le peuple aborigène est mis en danger, dans un destin qui le cantonne maintenant dans des réserves. « A long terme, nous espérons mettre en place un partenariat avec une école aborigène pour des échanges culturels. » Déjà une autre histoire. Cyril Faivre et les siens se donnent trois ans pour la construire.
Eric DAVIATTE
Les rêves de Delphine Martin
Delphine Martin, la compagne de Cyril Faivre, compte elle aussi s'investir au sein de l'association. « A plus long terme, nous espérons développer des échanges entre la Franche-Comté et l'Australie autour du didgeridoo. Mais cela pourrait concerner d'autres disciplines comme le dessin et ses techniques peinture. »
Il faut dire que Delphine Martin est peintre. Cela fait d'ailleurs une année qu'elle ne fait plus que cela. Créant des toiles influencées par le monde imaginaire enfantin. Fées, elfes et animaux sur les toiles.
Les peintures de Delphine Martin, exposées et commercialisées chez Cart, décorent à merveille les chambres d'enfants. Mais nombreux sont les adultes à ne pas hésiter à faire l'acquisition d'une oeuvre pour eux-mêmes. Un retour dans les saveurs de l'enfance. « Mes toiles sont en fait le début d'une histoire. Et chacun peut s'inventer la suite. » Une poule sur des échasses devant des moutons interloqués... On dirait en effet le début d'une bande dessinée.
Delphine Martin est peintre. Mais elle n'a pas une vision d'art restrictive. La demoiselle l'avoue sans détour. Elle voudrait s'investir dans d'autres domaines. « J'aimerais bien travailler dans le textile pour enfants, dans les papiers peints ou les frises... Moi, je travaille dans l'image. Le but est de la diffuser pour que les gens puisse en profiter alors cela ne me gênerait pas que mes dessins se retrouvent sur des housses de couettes. »
Delphine Martin est comme cela. Elle veut partager ses rêves avec tout le monde. C'est pour cela qu'elle voudrait essayer tous les chemins. Mais pour l'édition, elle avoue qu'elle attendra avant de se lancer dans une carrière d'illustratrice. Son regard enfantin pour le moment ne veut pas investir un monde de requins.
E. D.
- Pièces jointes
-
- Un monde enfantin pour les petits et les grands. Photo Arnaud CASTAGNÉ
- besa3658.jpg (14.22 Kio) Consulté 2200 fois
-
- Cyril Faivre, président, et Ludovic Gauthier, un autre type de musiciens. Photo Patrick BRUMENT
- besa4904.jpg (9.93 Kio) Consulté 2200 fois
-
- Modérateur||Modératrice
- Messages : 6932
- Inscription : dim. 28 déc. 2003, 3:44
- Localisation : Paris 12e
Re: interview a l'est replublicain
merci Free pour la diffusion
merci a la nouvelle asso
et bravo pour cet article !!!
il est tres chouette
quand je repense a la journaliste du Parisien qui avait ecrit "une longue flute en bois"...
merci a la nouvelle asso
et bravo pour cet article !!!
il est tres chouette
quand je repense a la journaliste du Parisien qui avait ecrit "une longue flute en bois"...
- babu
- Le tchatcheur fou||La tchatcheuse folle
- Messages : 940
- Inscription : mer. 02 juil. 2003, 20:36
- Localisation : Neuchatel Suisse
Re: interview a l'est replublicain
Excellent tout çà !!! :1: :1: :1:
Vous avez bien bossé, bravo les gars !!!
Bah le journaliste finalement c'est un bon !!
Pour ce qui est du carnaval, je veux bien être déguisé avec string mais après faudra pas vous plaindre après ....parce que je quitte l'asso pour une asso de body building parce qu'on m'aura remarqué sur le char...

Vous avez bien bossé, bravo les gars !!!
Bah le journaliste finalement c'est un bon !!
Pour ce qui est du carnaval, je veux bien être déguisé avec string mais après faudra pas vous plaindre après ....parce que je quitte l'asso pour une asso de body building parce qu'on m'aura remarqué sur le char...


- BenoîtZinho
- La pipelette infernale
- Messages : 2900
- Inscription : lun. 25 août 2003, 13:59
- Localisation : Paris
- Contact :
Re: interview a l'est replublicain
Coool super article!!! .. et pa un ptit en plus!!! Énorme chapeau!!!!! CHAPITO
Re: interview a l'est replublicain
c'est vrai qu'il est pas mal ! on parle meme de la FD....
euh Free tu etais pas obliger de mettre la Delfine avec





djutdjut
- m1ro
- Le tchatcheur fou||La tchatcheuse folle
- Messages : 936
- Inscription : sam. 07 août 2004, 0:02
- Localisation : Marne-la-Vallée (77)
Re: interview a l'est replublicain
oué très bon article, je suis étonné qu'il traite si bien le sujet 

Fée du didge dans le 77 : http://www.feedestrucs.fr
- freestylers2000
- Le tchatcheur fou||La tchatcheuse folle
- Messages : 817
- Inscription : sam. 05 avr. 2003, 11:38
- Localisation : TOULOUSE (Montaigut sur save)
- Contact :
Re: interview a l'est replublicain
Euh je pensais qu'il y avait de la peinture aborigène...
Mais j'ai lu après que c'étais autre chose...
Je peu l'enlever si tu le souahite...
Mais j'ai lu après que c'étais autre chose...
Je peu l'enlever si tu le souahite...
- BenoîtZinho
- La pipelette infernale
- Messages : 2900
- Inscription : lun. 25 août 2003, 13:59
- Localisation : Paris
- Contact :
Re: interview a l'est replublicain
non laisse c'est intérrésant aussi
- amélie
- Le tchatcheur fou||La tchatcheuse folle
- Messages : 1247
- Inscription : dim. 07 mars 2004, 22:10
Re: interview a l'est replublicain
super article! bravo ça fait plaisir de voir des gens qui se bougent :4: bon courage!!!!
(et vivement la photo de Babu en string) héhé
(et vivement la photo de Babu en string) héhé

- babu
- Le tchatcheur fou||La tchatcheuse folle
- Messages : 940
- Inscription : mer. 02 juil. 2003, 20:36
- Localisation : Neuchatel Suisse
Re: interview a l'est replublicain
Le jour où les aborigènes porteront un string je porterai peut être un string ....à un carnaval ... :7:amélie a écrit :super article! bravo ça fait plaisir de voir des gens qui se bougent :4: bon courage!!!!
(et vivement la photo de Babu en string) héhé

- francedidgeridoo
- Site Admin
- Messages : 8905
- Inscription : ven. 21 févr. 2003, 11:37
- Localisation : Var
- Contact :
Re: interview a l'est replublicain
Il parle même pas de France Didgeridoo.... sniffff...... bouhhhhhhhh
Non, je deconne, je m'en fous; je suis pas payé à la comm.
Non, je deconne, je m'en fous; je suis pas payé à la comm.

Campagne de lutte anti-sms : (message de la Fédération Française contre le langage SMS)

Et hop le didge... :icon_vert: