Le rapport final intitulé "Bringing them home" (Ramenez les à la maison)1 fut publié en 1997.
Un an après cette publication, une journée nationale du pardon fut instituée pour faire connaître le tort qui avait été causé aux familles indigènes et pour que le « processus de cicatrisation » puisse débuter. Le Sorry Day rappelle aussi le souvenir des mauvais traitements subis non seulement par les enfants de la Stolen Generation, mais aussi par l'ensemble des Aborigènes depuis 1770.
